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Milvus migrans tenebrosus 

Linguistique
Nom scientifique actuel :   Milvus migrans tenebrosus 
     
Nom scientifique ancien :   Milvus migrans tenebrosus 
     
Nom francais :   Milan
     
Nom anglais :   Yellow-billed Kite
     
Nom vernaculaire :  
Lukumbikumbi (Tshiluba) ; mpungwe, kifwi (Kitabwa) ; chiyimbi (Lunda) ; pungwa ; kibeba nkuku (Kibemba) ; Nkumbia (Kiluba)
 


 

Zoologie
Chant/cri :  
     
Caractéristiques physiques :   Se distingue de son cousin le milan noir par le bec jaune. Son plumage brun et sa queue échancrée sont bien connus de tous.  
     
Habitat :   Probablement le rapace le plus commun au Katanga.  
     
Éthologie :   Souvent attirés par les feux, ils chassent alors les insectes qui essaient d’échapper aux flammes. Connu des villageois comme voleurs de poussins, il leur arrive même de voler les poissons que les pêcheurs à la ligne sont en train de ramener vers le bateau. 
     
Régime alimentaire :   En général ils se contentent des déchets trouvés dans les villages. On a parfois observé des milans se nourrissant de noix de palme.  
     
Reproduction :    
     
Distribution au Katanga :   view map  
 
 
Histoire, ethnologie, sociologie
Interactions avec l'homme :    
     
Tabous :    
     
Légendes, croyances, folklore :   Chez les Bemba, sa capacité à fondre sur les proies et à trouver les carcasses d’animaux fait qu’il est pris comme ingrédient dans les charmes des chasseurs. Ils mettent une parcelle de sa tête dans une corne de kashia et l’emportent avec eux à la chasse.
Les jeteurs de sort l’utilisent comme ingrédient dans leurs maléfices car l’oiseau est capable de fondre sur sa proie. Cette qualité est recherchée pour frapper la victime.
On place une plume de cet oiseau dans les poulaillers pour préserver la volaille des attaques de cet oiseau. 
     
Chasse, pêche :    
     
Alimentation :    
     
Apprivoisement, élevage :    
     
Usage de la peau ou d'autres parties :    
  


Avertissement :

Cette base de données a été établie d'après des ouvrages faisant autorité et avec l'aide de scientifiques renommés. Cependant, il est certain que des erreurs doivent y figurer.

Les noms vernaculaires ont été recueillis sur le terrain et dans la littérature coloniale de la première partie du 20éme siècle. Les religieux ayant établi les premiers dictionnaires n'étaient pas forcément des naturalistes avertis et dès lors, de grossières erreurs doivent avoir été commises.

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